Capital(ism)e
Frédérique Devaux
Competizione #5 | Diffusione live il sabato 17 ottobre alle 16:14 (UTC+2) |
Sinossi | Quando la pubblicità, le grandi marche e il mercato economico ci bombardano… Scappare? Ribellarsi? Indignarsi? La cineasta utilizza l’arte del frammento per costruire un corto pamphlet contro il capitalismo. |
Paese | Francia |
Anno | 2020 |
Formato di proiezione | Digitale |
Durata | 3'20 |
Biografia | Née en octobre 1956 à Paris. |
Intervista | FCDEP Quel est le point de départ de votre film ? Frédérique Devaux C’est le mal être et l’inadéquation de ma vie à la société contemporaine, ainsi que le souhait qu’un jour je puisse mener une existence juste et apaisée. Par société contemporaine, j’entends son caractère mercantile et consumériste, et dont l’expansion libérale ne fait que croître de jour en jour. Et parce que je vis de nombreux mois dans l’année en Algérie. Étant binationale, je suis à moitié française, et à moitié algérienne. Je ne supporte plus les injustices ici et là. J’ai donc filmé le hirak, la révolte de tout un peuple, qui était pour moi plus que justifiée à mes yeux.
Capital(ism)e démontre alors comment nous sommes assaillis au quotidien par la pub, les marques, les consortiums, l’évolution ultra rapide des logiciels, des produits de toutes sortes, et à quel point les populations se retrouvent aliénées par ce mouvement. Nous ne pouvons plus souffler ni méditer, nous ne savons plus comment réagir, sauf à s’enfermer dans des boîtes hermétiques. FCDEP Combien de temps a pris l’élaboration de votre film ? Frédérique Devaux Je n’ai pas pu travailler en continu dessus, je pense y avoir passé une quinzaine de jours au total, sans compter la préparation en amont (recherche des rushes, des sons, de la digitalisation…). |
Fedele alla sua estetica del frammento, del lembo lacerato e ricontestualizzato dell’immagine come praticata nel periodo di Lettrist (1980-1995) e poi nella sua vena autobiografica (serie K, 2001-2008), Frédérique Devaux si immerge nel suo baratro di immagini e ne estrae brandelli di città selvaggiamente assalite da pubblicità di ogni tipo (immagini di marca, aggressioni visive varie, alfabeti internazionali al servizio del Capitale) per darci un breve opuscolo visivo sulla perdita di tutti i punti di riferimento nelle terre del capitalismo selvaggio e onnipresente. Strade, individui, edifici sono devastati e deformati da questa piaga grafica. Questa volta, Devaux fa un uso diretto della tecnologia digitale, che sottopone alle stesse interruzioni della pellicola d’argento. Uno shock visivo.
Tradotto dal traduttore www.DeepL.com/Translator